Seules les voix des membres titulaires du comité d'entreprise sont prises en compte pour déterminer la majorité des voix permettant de demander une seconde réunion extraordinaire du CE.
Des membres d'un comité d'entreprise et un représentant syndical ont sollicité la tenue d'une réunion extraordinaire du comité d'entreprise, laquelle a été refusée par l'employeur. Ils ont alors contesté ce refus devant le juge des référés. Le 20 octobre 2017, la cour d'appel de Paris leur a donné gain de cause.Elle a retenu que la majorité permettant de demander une seconde réunion prévue à l'article L. 2325-14 du code du travail s'entend de tous les (...)
Cet article est réservé aux adhérents