La diffusion d'un tweet injurieux à l'encontre d'une femme politique constitue une injure publique envers particulier lorsqu'il n'est pas posté en raison des fonctions de cette dernière.
Dans un tweet posté au soir de l'élection du candidat du Front national aux élections cantonales, un attaché parlementaire employait à l'encontre de la secrétaire départementale du parti des termes injurieux.A la suite de la plainte déposée par l'intéressée, l'auteur a été renvoyé devant le juge pénal du chef d'injure publique envers particulier. Le tribunal de grande instance de Paris, dans sa formation correctionnelle, l'a déclaré coupable des faits (...)
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