La Cour de cassation est venue rappeler que la répudiation était contraire à sa vision de l'ordre public international et n'empêche pas le prononcé du divorce aux torts exclusifs de l'époux.
Un couple de nationalité algérienne s'est marié en Algérie et a eu un enfant. L'époux a saisi en dissolution du mariage le tribunal de Mostaganem qui a fait droit à sa demande. Par la suite, l'épouse, demeurant en France, a saisi le juge aux affaires familiales et ce dernier a prononcé le divorce des époux aux torts du mari, le condamnant à payer une certaine somme à titre de dommages-intérêts. Le mari a relevé appel du jugement invoquant l'autorité (...)
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