La Cour considère que le gouvernement n’a pas démontré que les autorités nationales, notamment les instances universitaires et judiciaires, ont réagi avec la diligence requise pour que l’étudiant puisse continuer à jouir de son droit à l’éducation sur un pied d’égalité avec les autres étudiants.
Un étudiant turc fut grièvement blessé lors d’un accident qui le laissa paralysé des membres inférieurs. Il demanda à la faculté d’entreprendre des aménagements dans les locaux de l’université afin qu’il puisse reprendre ses études.Invoquant des motifs budgétaires et des contraintes de temps, le rectorat lui répondit que les aménagements demandés n’étaient pas envisageables à court terme, mais lui proposa de désigner une personne qui lui (...)
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