Le 24 janvier 2010, les juges des libertés et de la détention de Marseille, Nîmes, Rennes et Lyon ont décidé de remettre en liberté 104 des 123 clandestins kurdes arrivés le 22 janvier sur le rivage corse et placés dans les centres de rétention administrative de leurs juridictions. Les juges ont retenu que la privation de liberté s’était faite en dehors de tout cadre légal, puisque ces personnes n’étaient pas placées en garde à vue. Les parquets de ces (...)
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