Le maire de Créteil a, par décision du 26 décembre 2008, expressément renoncé à exercer son droit de préemption sur un immeuble qu'une société avait déclaré vouloir aliéner au profit d'une autre. Le maire a retiré cette décision le 26 janvier 2009 au motif qu'elle aurait procédé d'une confusion entre des déclarations d'intention d'aliéner portant sur des biens immobiliers distincts reçues durant la même période. Il a ensuite décidé le 9 février (...)
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