Malgré les doutes sérieux sur la partialité des juges ayant condamné l'avocat de la veuve d'un magistrat pour diffamation publique, il ne peut dépasser certaines limites dans la critique publique de la justice.
En 1995, un magistrat est retrouvé mort à quatre-vingts kilomètres de la ville de Djibouti. Bien que l'enquête de gendarmerie ait conclu au suicide par immolation, la veuve du magistrat déposa plainte avec constitution de partie civile pour assassinat.Une information judiciaire fut alors confiée à 2 juges d'instruction, dessaisis quelque temps plus tard, le dossier étant alors confié à un autre magistrat. Me M., avocat de la veuve du magistrat assassiné, (...)
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