La plaisanterie, même sarcastique, faite à l'audience par l'avocat, pensée comme une critique de la manière dont les règles de preuve avaient été appliquées dans l’affaire qu’il défendait, est conforme à la liberté d'expression.
Pour illustrer sa critique de la procédure dans laquelle il représentait un client, un avocat bosniaque a raconté durant l'audience une plaisanterie au sujet d’un professeur qui attendait de ses étudiants qu’ils (...)Cet article est réservé aux adhérents