Un journaliste, qui se contente de relayer des informations disponibles sur internet sans rien révéler de la vie privée du demandeur qui ne l’ait été auparavant, ne porte pas une atteinte à la vie privée de ce dernier.
M. X. se plaignant d’avoir vu son identité révélée et des informations relevant de sa vie privée diffusée sur les réseaux sociaux, celui-ci a assigné un journaliste devant le tribunal de grande instance de Paris sur le fondement de l’article 9 du code civil. Le 15 novembre 2017, le tribunal juge que ne constitue pas une atteinte à la vie privée la révélation du nom du demandeur, lequel est en réalité très proche de celui de son nom (...)
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