La CEDH retient la violation de la liberté d’expression d’un détenu dont l’ébauche du roman a été saisie par l’administration pénitentiaire.
Un ressortissant turc, détenu dans un centre pénitentiaire en Turquie, a déposé une ébauche manuscrite de roman auprès de l’administration pénitentiaire, demandant qu’elle soit envoyée à son avocat pour la remettre à sa famille en vue de sa publication. Le président de la commission pénitentiaire chargée de la lecture de la correspondance des détenus a établit un rapport selon lequel le texte soutenait une organisation illégale, insultait les (...)
Cet article est réservé aux adhérents