Se prétendant créancière à l'égard de la société A. du prix de produits que celle-ci lui avait commandés et qu'elle lui avait livrés, la société H. lui en a demandé paiement. La cour d'appel de Paris, devant laquelle la société A. contestait avoir reçu communication de la traduction en langue française de chacun des documents qu'invoquait la société H. pour prouver l'existence et le montant de la créance litigieuse, a constaté qu'étaient uniquement (...)
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