Deux tirs d'un chasseur posté dans une hutte ont atteint deux gardes de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage venue effectuer un service de surveillance. Leur incapacité de travail a été fixée à deux jours chacun. La reconstitution des faits a établi que les deux silhouettes pouvaient être aperçues depuis la hutte mais qu'il était impossible de distinguer, sans l'aide de jumelles, s'il s'agissait d'êtres humains ou d'animaux. Or, le prévenu (...)
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