Prêter à la présidente d’un parti politique la volonté de promouvoir la défense de la "communauté blanche" au détriment des Français d’origine étrangère et l’accuser d’être ainsi elle-même la première communautariste de France n'excède pas les limites de la liberté d'expression dans le contexte du débat démocratique.
Une partie civile se pourvoit en cassation contre la cour d’appel de Paris qui l’a déboutée de son action civile en diffamation envers un particulier. En l’espèce, les propos poursuivis alléguaient que la présidente d'un parti politique qui s'élevait contre le communautarisme voulait promouvoir la défense de la communauté blanche qu'elle estimait menacée par les Français non issus du territoire hexagonal et notamment musulmans et qu'elle était ainsi (...)
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