Des faits pénalement répréhensibles commis à l'étranger et également en France peuvent être soumis au juge français s'ils ont été en partie commis en France.
M. X., de nationalité Slovène, est reconnu coupable de proxénétisme aggravé et association de malfaiteurs par la cour d'appel de Riom dans un arrêt du 24 mai 2012. Il se pourvoit contre ses condamnations en se fondant sur l'exception d'incompétence du juge français, les faits étant commis aussi en Slovaquie en partie. La Cour de cassation rejette ses demandes dans un arrêt du 4 avril 2013, aux motifs qu'est "réputée commise sur le territoire de la (...)
Cet article est réservé aux adhérents