Les passagers ont droit à une indemnisation même s’ils ne se sont pas présentés à l’enregistrement et s’ils ont été informés du refus d’embarquement au moins deux semaines avant l’heure de départ du vol prévue.
Ne parvenant pas à s’enregistrer sur le vol qu’elle avait réservé pour le lendemain, une passagère a contacté la compagnie aérienne. Celle-ci l’a alors informée qu’elle l’avait, sans l’en avertir, transférée sur un vol (...)Cet article est réservé aux adhérents