Le risque de sur-diagnostic présenté par un produit de dépistage du cancer de la prostate ne constitue pas un danger grave pour la santé humaine dans la mesure où il ne peut être à l'origine de la réalisation d'examens complémentaires que sur décision médicale.
Le directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé a interdit la mise sur le marché des dispositifs médicaux d'autodiagnostic de l'antigène prostatique spécifique.A ce titre, il a indiqué que le produit présentait un danger grave pour la santé humaine dans la mesure où, du fait de sa non-fiabilité, il créait un risque de sur-diagnostic justifiant des examens complémentaires qui pourraient être à l'origine (...)
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