Une jeune épousée, ayant tué son riche époux un mois après leur union, voit son mariage annulé pour faute de consentement.
Mme X. a été condamnée pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, laquelle est intervenue moins d'un mois après leur mariage. Un arrêt du la cour d'appel de Paris a annulé ce mariage.Les juges du fond ont relevé qu'il ressortait de plusieurs dépositions qu'au moment du mariage, Mme X. était animée par "une intention de lucre et de cupidité, n'ayant pour but que d'appréhender le patrimoine de [son (...)
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