L'application du droit coutumier kanak échappe au contrôle de la Cour de cassation au regard de l'ordre public.
En 2005, M. X., résidant en Nouvelle Calédonie, a présenté une demande de dissolution de son mariage coutumier avec Mme Y. Par jugement du 8 novembre 2005, le tribunal de première instance de Nouméa, assisté d'assesseurs coutumiers, a prononcé la dissolution du mariage et renvoyé l'affaire pour que l'épouse puisse formuler des demandes d'ordre financier. La cour d'appel de Nouméa, dans un arrêt du 23 avril 2007, a débouté Mme Y. de sa demande tendant à (...)
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