M. X. étant décédé le 13 janvier 2010, sa mère a saisi le tribunal d'instance pour voir dire, principalement, que l'épouse de ce dernier, Mme Z. ne pourrait être considérée comme l'interprète des volontés du défunt qui devra être inhumé en Tunisie. La cour d'appel de Paris a décidé que M. X. serait incinéré dans les conditions fixées par son épouse. Les juges du fond ont retenu qu'il convenait de rechercher par tous moyens quelles avaient été les (...)
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