L’enfant L., né en 1994, de l’union de Mme Y. et de M. X., a été adopté simplement, par jugement du 22 septembre 2000, par le mari de sa mère, M. Z. Suite à leur divorce, la résidence de l’enfant a été fixée chez l’adoptant, et la contribution, à l’origine amiablement consentie, versée par M. X. à M. Z. pour l’entretien de l’enfant, maintenue. La cour d'appel de Riom a maintenu la pension alimentaire due pour L. et a débouté M. X. de sa (...)
Cet article est réservé aux adhérents