Dans deux arrêts des 17 et 31 mars 2010, la Cour de cassation s'est prononcée sur des possessions d'état conforme au titre de naissance ou entachée d'équivoque.
Dans la première espèce, du 17 mars 2010, la Cour de cassation a jugé que les relations entre le père et la fille, bien que très mauvaises et rares, avaient toujours existé, sans discontinuité. Au surplus, le père n'avait jamais remis en question sa paternité et la fille avait toujours porté le nom patronymique de son père. Dans une seconde espèce, la Cour de cassation a considérée la possession d'état d'enfant légitime comme entachée d'équivoque en (...)
Cet article est réservé aux adhérents