Le fait pour un supérieur hiérarchique d’envoyer à une salariée, avec laquelle il avait eu une liaison par le passé, des SMS d’amour, n’est pas constitutif d’harcèlement sexuel.
Une salariée est licenciée pour faute grave et demande la nullité de son licenciement en invoquant un harcèlement sexuel de la part de son supérieur hiérarchique. Ce dernier lui aurait envoyé des déclarations d'amour par messages téléphoniques "SMS". La cour d’appel de Lyon rejette sa demande et déclare le licenciement fondé.L’arrêt du 8 novembre 2013 relève que la salariée et son supérieur avaient entretenu une liaison par le passé et que les (...)
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