Le licenciement d’un salarié, fondé sur des courriers dénonçant la gestion d’une filiale, dont les termes n’étaient ni injurieux, ni excessifs, ni diffamatoires, doit être déclaré nul car attentatoire à la liberté d’expression du salarié.
Un salarié a été promu directeur général de la filiale roumaine du groupe dans lequel il travaillait.A la suite de son licenciement pour faute grave, il a saisi la juridiction prud’homale. La cour d’appel (...)Cet article est réservé aux adhérents